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    Cette chanson de Brassens doit faire réfléchir... n'est-ce pas?

    Il ne parle pas de la Birmanie, d'accord, mais c'est que la chanson est déjà un peu vieille. Ceci dit, elle n'a pas pris un ride, la philosophie de cette chanson, comme de beaucoup d'autres de ce grand de la musique française d'ailleurs.  


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  • Non, il ne va pas y avoir du sport...

    Malheureusement, il risque d'y avoir une guerre. Encore et toujours. A New York se tient l'AG des Nations Unies. Le Courrier international écrit:

    "selon M. Bush, qui a fait de l'Iran l'un des Etats de "l'axe du mal", le régime islamique arme aussi les extrémistes chiites contre les soldats américains en Irak; en Afghanistan, il aide les talibans; il soutient le Hezbollah qui oeuvre à la déstabilisation du gouvernement libanais; il appuie les groupes antiisraéliens considérés comme terroristes.".

    La totale quoi... il a suffi d'un mensonge pour foutre l'Irak en l'air il y a quelques années. Non pas que l'Irak était un paradis sur terre avant la guerre, loin de là, mais enfin, on ne peut pas dire qu'il l'est devenu plus après...

    Quid de l'Iran? On dira, comme Lénine dans son livre "L'Etat et la révolution":

    "Allahu a'alem - Dieu sait".  


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  • C'est le raisonnement de M. Devedjian, interrogé par la chaîne ITELE sur le risque d'augmentation du prix du gaz suite au mariage GDF-Suez. La question était si cela ne risquait pas de causer l'augmentation du prix du gaz au-delà de ce qu'exigerait la hausse du prix de pétrole. C'est la concurrence qui ne permettrait pas une telle chose, selon M. Devedjian. Dormez bien tranquilles donc, peut-être dormirez-vous encore au chaud. Il y a juste une question qui reste ouverte: le marché du gaz sera-t-il plus ouvert que celui de la téléphonie mobile? Parce que pour ce dernier, on sait qu'il y a eu une entente entre opérateurs pour maintenir les prix des communications à un niveau très haut.

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    L'article qui suit a été écrit en anglais par dr. Iftikhar Ahmad, de l'école d'Islam basée à Londres. Nous l'avons traduit en français pour vous, car son analyse est tout à fait pertinente pour la France aussi. En effet, "La voix des Rroms", ainsi que d'autres associations rroms avec qui nous travaillons, militent pour une reconnaissance effective du patrimoine linguistique et culturel des Rroms ainsi que d'autres peuples, avec ou sans territoire compact. Par reconnaissance effective, nous entendons avant tout l'utilisation dans l'espace public, - y compris dans l'enseignement, - des langues "minoritaires et régionales", pour reprendre le vocabulaire consacré par le Conseil de l'Europe.

     

    La cohésion de la communauté

    Selon Ruth Kelly, les migrants doivent apprendre l'anglais pour s'intégrer. Apprendre l'anglais est à peu près aussi important qu'apprendre l'arabe, l'ourdou ou d'autres langues minoritaires. L'establishement britannique et la société ont systématiquement échoué lorsqu'il s'est agi de comprendre les causes de la migration, le terrorisme planétaire et la ségrégation sociale, émotionnelle et économique. Les musulmans subissent différentes formes de discrimination qui réduisent leur possibilité d'emploi et qui affectent leurs résultats scolaires. Cela cause du désespoir et peut détruire le sentiment d'appartenance des musulmans. L'islamophobie est une réalité croissante du racisme de par le monde. La seule manière de l'arrêter est le respect de la diversité religieuse. Les communautés sont plus divisées que jamais. Le gouvernement avance avec des politiques imparfaites et avec des lois contre le terrorisme, qui créent plus de ressentiment, de l'aliénation et de la criminalisation. Un renouveau de la violence raciste et motivée par la religion a suivi les attentats à la bombe à Londres et à Glasgow le 7 juillet.

    Les communautés musulmanes sont en colère face aux plans tendant à « espionner » les étudiants musulmans dans les universités. La proposition est un acte de racisme. Le problème ce ne sont pas les universités. Seulement parce que quelques uns des responsables des attentats du 7 juillet étaient des diplômés, cela ne veut pas dire qu'ils formèrent leurs idées dans une université. C'est la société occidentale qui crée des musulmans extrémistes partout dans le monde. Les jeunes musulmans sont plus séparés de la société que leurs parents qui n'étaient pas bien à l'aise en anglais alors que la jeune génération musulmane est notoirement unilingue. Les écoles ne les encouragent pas ni ne leur enseignent l'arabe, l'ourdou et d'autres langues minoritaires. Il leur est déconseillé de parler leur langue maternelle même à la maison. Ils n'apprennent que l'histoire britannique et non pas leur propre histoire. La société britannique était et reste toujours peu dispose à ouvrir son sens de citoyenneté à tous ceux qui sont venus vivre ici. L'intégration est un processus bidirectionnel. Beaucoup de musulmans reconnaissent qu'ils doivent faire plus d'efforts pour s'engager dans la société large. En même temps, les politiques britanniques et européens doivent faire des efforts plus énergiques pour promouvoir un dialogue interculturel significatif et pour combattre le racisme, la discrimination et la marginalisation plus efficacement.

    L'establishment britannique se trompe en pensant que des imams sont responsables pour l'extrémisme. Les imams ne sont pas une solution au problème de l'extrémisme. L'extrémisme n'a rien à voir avec les imams. L'extrémisme n'est pas créé depuis l'étranger, il vient de l'intérieur. La Grande Bretagne n'arrive pas à aider les communautés musulmanes à se sentir comme une partie intégrante de la société britannique. Daily Express prévoit des problèmes raciaux, en raison d'un boom ethnique dans les plus grandes villes britanniques. Les communautés musulmanes ont besoin de solutions à leurs besoins et à leurs demandes dans leurs langues respectives. Les parents musulmans voudraient voir leurs enfants parler couramment l'anglais standard et continuer leurs études et la recherche à haut niveau pour servir l'humanité. Le fait est que la majorité des enfants musulmans quittent l'école avec de mauvais résultats parce que les instituteurs unilingues ne sont pas capables à enseigner l'anglais standard à ces enfants bilingues. Un musulman est un citoyen de ce petit village global. Il/elle ne veut pas devenir notoirement un Britannique unilingue.

     Dr. Iftikhar Ahmad

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    <st1:place><st1:PlaceName>London School</st1:PlaceName></st1:place> of Islamics

    An Educational Trust

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    Tel/Fax: 0208 555 2733 /07817 112 667

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